PARIS, France, 29 avril 2009/African Press Organization (APO)/ — Dans le cadre de l’initiative pour la croissance en Afrique annoncée par le Président de la République au Cap en février 2008, Alain Joyandet est heureux du lancement, aujourd’hui, du Fonds d’investissement et de soutien aux entreprises en Afrique (FISEA). D’un montant initial de 250 millions d’euros, ce fonds d’investissement doit créer, dans les cinq ans qui viennent, plus de 100 000 emplois sur le continent africain.
L’objectif de ce fonds est de favoriser la croissance des PME africaines en leur apportant une ressource financière de long terme et d’appuyer leur management. Il se consacre à des opérations plus risquées que celles que les banques acceptent spontanément de financer. Il s’intéresse en priorité aux initiatives ayant un fort impact sur la création d’emplois et le développement, notamment dans les secteurs de l’agriculture, de la santé et de l’éducation. Il couvre aussi les régions instables ou en situation de post conflit. Les projets devront être financièrement rentables et avoir un réel impact sur le tissu économique local pour être sélectionnés.
Ce FISEA doit ainsi prendre des participations dans des fonds d’investissements afin que ceux-ci en prennent à leur tour dans des entreprises en Afrique. Il s’agit ainsi de mettre en place une plateforme permettant de partager les risques et de créer un effet d’entrainement sur l’économie locale. Le Fonds poura aussi investir directement dans des entreprises. Des ressources spécifiques seront enfin allouées à l’accompagnement des sociétés dans l’identification et la mise en place de leurs projets
D’un montant de 250 millions d’euros, le fonds est détenu par l’AFD et géré par Proparco, sa filiale dédiée au secteur privé. Il correspond parfaitement aux besoins du secteur privé africain qui, marqué par le poids de l’économie informelle et la prédominance des petites et moyennes entreprises, souffre aujourd’hui d’un manque d’organisation et d’un faible accès aux investissements.
Avec 50 millions d’euros investis par an, FISEA devrait financer d’ici cinq ans une vingtaine de fonds différents, eux mêmes actionnaires d’environ 800 PME. Il pourra ainsi permettre de catalyser un milliard d’euros de capital risque sur le continent et contribuer à créer et maintenir plus de 100 000 emplois.
France - Ministry of Foreign Affair
L’objectif de ce fonds est de favoriser la croissance des PME africaines en leur apportant une ressource financière de long terme et d’appuyer leur management. Il se consacre à des opérations plus risquées que celles que les banques acceptent spontanément de financer. Il s’intéresse en priorité aux initiatives ayant un fort impact sur la création d’emplois et le développement, notamment dans les secteurs de l’agriculture, de la santé et de l’éducation. Il couvre aussi les régions instables ou en situation de post conflit. Les projets devront être financièrement rentables et avoir un réel impact sur le tissu économique local pour être sélectionnés.
Ce FISEA doit ainsi prendre des participations dans des fonds d’investissements afin que ceux-ci en prennent à leur tour dans des entreprises en Afrique. Il s’agit ainsi de mettre en place une plateforme permettant de partager les risques et de créer un effet d’entrainement sur l’économie locale. Le Fonds poura aussi investir directement dans des entreprises. Des ressources spécifiques seront enfin allouées à l’accompagnement des sociétés dans l’identification et la mise en place de leurs projets
D’un montant de 250 millions d’euros, le fonds est détenu par l’AFD et géré par Proparco, sa filiale dédiée au secteur privé. Il correspond parfaitement aux besoins du secteur privé africain qui, marqué par le poids de l’économie informelle et la prédominance des petites et moyennes entreprises, souffre aujourd’hui d’un manque d’organisation et d’un faible accès aux investissements.
Avec 50 millions d’euros investis par an, FISEA devrait financer d’ici cinq ans une vingtaine de fonds différents, eux mêmes actionnaires d’environ 800 PME. Il pourra ainsi permettre de catalyser un milliard d’euros de capital risque sur le continent et contribuer à créer et maintenir plus de 100 000 emplois.
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